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<!-- ======================================================= --> <!-- --> <!-- CONTENU DE L'ARTICLE - ÉCRIRE CI-DESSOUS --> <!-- --> <!-- ======================================================= --> Un voyage non commun Je me réveille, c’est le matin du début du voyage, dans ma magnifique chambre de couleur or et marron doré de chez ma grand-mère, de très bonne humeur et avec une énergie indescriptible surement dû à l’excitation car aujourd’hui le premier août commence le voyage pour New-York. Le voyage se déroulera en trois parties : la première étant d’aller chez ma tante à Bordeaux pour y loger pendant une nuit et y déposer ma chienne Kiarra pour qui cela est trop compliquée de venir avec nous, puis nous prendrons l’avion à Bordeaux destination les Etats-Unis à l’aéroport JF Kennedy puis pour finir nous prendrons un taxi pour aller jusqu’à notre hôtel car nous ne connaissons absolument pas New-York. Je me lève en me rappelant le but de mon voyage qui est de continuer mes recherches sur la déesse Athéna et cela depuis la découverte de la bibliothèque et de la lettre de mon grand-père (cela fait déjà quelques semaines pour la lettre) cela a renouvelé mon envie d’en savoir plus sur cette divinité. Je sors de ma chambre où je suis accueillie par Kiarra comme tous les matins et nous arrivons en courant dans la cuisine où je vois ma grand-mère et on s’adresse alors un discret signe de tête en signe de bonjour. Nous déjeunons et finissons de vérifier que nous n’avons rien oublié. Nous montons ensuite dans la petite Clio pour quarante minutes environ de voiture destination chez ma tante. Il est dix heures, ma grand-mère démarre alors. Je me laisse aller confortablement dans le siège passager et vérifies une dernière fois mes affaires que j’ai mis dans mon petite sac à main : mon passeport (je n’ose même pas regarder ma tête), l’ESTA qui signifie « electronic system for travel atorization » ce qui nous permettra d’atterrir dans le pays Américain (que nous avions payé quatre dollars pour la demande et dix pour l’acceptation), mon portable qui me servira d’appareil photo et de mp3, mon porte-monnaie où se trouve les dollars que ma grand-mère avait troqué à la banque de Bordeaux et enfin la lettre de mon grand-père. Quand je relève la tête nous sommes au niveau de la mairie de Saint-Emilion où nous prenons ensuite la direction Bordeaux pour passer le pont d’Aquitaine que je n’ai par ailleurs jamais vu. Le paysage change peu à peu, les habitations du bourg en pierre avec le marché, qui se déroule comme tous les jours de vacance, où je réussis à apercevoir le meilleur commerçant du village, qui se nomme Rémi et c’est à son étalage que nous faisions nos courses et qui déjà avait vendu plus de la moitié de son étalage ce qui me fit sourire. Le bourg laisse alors la place aux champs de vaches et surtout aux vignes qui s’étendent à perte de vue car à Bordeaux et Saint-Emilion, le vin est très populaire et fait la fierté de ses habitants. En observant le paysage je me rends compte que j’ai vraiment chaud malgré mon débardeur bleu clair et mon short gris clair et je vois alors que les vaches, elles, n’ont pas attendu longtemps pour se mettre à l’ombre sous les feuilles des arbres. Peu de temps après nous arrivons sur le pont d’Aquitaine qui était rouge et noir, et là je ne suis vraiment pas à l’aise à cause de mon vertige et je n’ai aucune confiance en ce pont de plus j’aperçois des bateaux qui passent en dessous de nous et au loin d’une façon pas très nette un petit bateau de croisière ce qui fut une cruelle erreur car mon malaise empire alors. Je pousse un petit soupir de frustration et écoute soudain la radio qui énumère tout les problèmes que nous pouvons rencontrer sur les routes de France. Avec soulagement je constate que nous n’aurons aucun problème sur la route à part bien sûr les bouchons de trente minutes minimum. Passé le pont, ma grand-mère prend la D1563 où les bouchons commencent déjà et là où aussi le paysage change un peu : la végétation est d’un vert un peu plus sombre mais il y a toujours les vignes et les champs. J’écoute de la musique par la suite et regarde l’expression des personnes qui comme nous ont chaud et sont pressées de finir leur route. La plupart sont des touristes avec leur plaque d’immatriculation française ou étrangère, je vois même passer une voiture anglaise avec le volant de l’autre côté, je rigole intérieurement et constate qu’il n’y a aucune autre différances avec nous sauf le volant. Nous continuons une bonne heure de minutes au lieu d’une vingtaine sur cette route départementale et nous arrivons enfin à Bordeaux trempées de sueur et avec une chienne surexcitée à l’arrière. Ma grand-mère trouve facilement la maison de ma tante qui est juste à la sortie du bourg qui lui est vraiment pareil que le nôtre sauf deux différences majeures : sa taille qui est au moins deux fois plus grande et le nombre de touristes. Nous nous arrêtons devant l’immense portail de couleur blanc et fraichement peint qui fait, je trouve un contraste assez étrange avec les champs vert et marrons qui entoure la magnifique demeure qui est très près de l’aéroport où nous devons décoller demain à huit heures et demies. La maison est vraiment très isolée ce qui me plait immédiatement. Nous passons le portail et je réfléchis alors comment aborder ma tante que je ne connais absolument pas. A peine sommes-nous descendu de la voiture que ma tante sort et je ne sais rien qu’en la regardant que cela n’allait pas être facile d’établir un contact. Le premier détail qui me frappe est surtout ses cheveux roses ce n’est pas que je n’aime pas les teintures mais je n’aime pas tout ce qui n’est pas très naturel de plus c’est la couleur que je déteste le plus au monde… Elle a un air enchantée et aimable, nous nous saluons et d’un petit coup d’oeil je remarque qu’elle m’examine des pieds à la tête ce qui m’énerve immédiatement, elle doit le remarquer car elle détourne aussitôt les yeux, décidément le courant ne passe pas bien encore entre nous… J’apprends par la suite qu’elle s’appelle Suzanne, qu’elle habite dans cette riche demeure seule depuis la mort de son mari et donc qu’un peu de compagnie lui ferait du bien. Je lui trouve alors un tic qui m’énerve aussitôt : elle passe toute les deux minutes la main dans ses cheveux et son air de sainte ni touche. Je décide donc de partir visiter la demeure seule pour me calmer en me demandant comment un tel gouffre peut exister entre ma famille et Suzanne, j’en conclue que chacun à sa personnalité et son style. La maison comporte trois étages très luxueux où j’explore la cuisine blanche et verte avec tout de dernière technologie par exemple le dernier frigo américain ou le minibar caché dans le comptoir énorme. Puis après, j’entre dans le salon qui est rose et vert et composé de quatre grands canapés blancs et d’une table basse en face d’une immense télévision avec des enceintes et aussi des minibars cachés au niveau de chaque canapé. Pour finir je me dirige vers la salle de bain qui elle se trouve au premier étage et la richesse ne me frappe pas autant car j’ai compris que toutes les pièces de cette maison sont ainsi. La salle de bain est de couleur bleu mais pas un bleu comme les autres, un bleu couleur cristal presque transparent, la douche est très grande et la baignoire ressemble à une mini piscine avec massage inclus. Je ne peux continuer ma visite car ma grand-mère m’appelle. En arrivant je constate qu’il est déjà une heure et demie, que je n’ai pas mangé et je choisis ce moment pour détailler mieux ma tante mais ma grand-mère m’en interdit d’un simple regard et je comprends qu’elles ont déjà mangé donc que ma grand-mère m’avait trouvé une excuse à mon impolitesse. Malgré l’interdiction j’observe que ma tante est de taille moyenne, assez fine (surement faisait-elle attention à sa ligne, cela ne m’étonnerai même pas), habillée de façon élégante et à la mode, ses cheveux roses sont attachés en chignon ce qui affine son visage qui est très joli je l’avoue mais un peu trop maquillé quand même mais cela fait ressortir ses yeux verts. Suzanne nous montre nos chambres respectives où tout d’abord je reste stupéfiée sur le seuil de ma porte en voyant le thème de ma chambre : le rose bonbon. J’installe mes affaires tout de suite pour me calmer en me disant que cette femme faisait tout pour m’énerver, il est déjà deux heures et je mange donc mon sandwich que j’ai préparé ce matin en cas de secours ce qui était une bonne idée. Je mis une heure à tout faire car je pris mon temps et Suzanne passe alors sa tête dans l’entrebâillement de la porte et demande à me parler. Sur la défensive je la seconde pendant qu’elle m’emmène dans un grand bureau de couleur rose et mauve et elle m’invite à s’assoir sur l’un des canapés d’un signe de tête, je m’exécute donc par politesse puis elle entame la discussion : « - Eh bien je crois que nous sommes parties toutes les deux sur de mauvaises bases … - Je suis d’accord avec vous mais je vous remercie tout de même pour votre accueil et de garder ma chienne pendant le voyage (même si je n’en ai pas du tout envie pense-t-elle aussitôt) malgré nos petits différends. - Ne me remercie pas c’est tout à fait normal, tu es la bienvenue et tu pourras revenir aussi souvent que tu le veuille (donc jamais pensa la concernée sur le coup) et nous avons au moins certains points en commun. - Ah oui lesquels ? Parce que malgré le respect que je vous porte je n’en trouve aucun…, répondis-je d’un ton calme. - Eh bien tu te trompes surement parce que nous n’avons pas appris à nous connaitre. Par exemple j’adore la mythologie et je connais ton grand-père mieux que toi et ça j’en suis certaine. - Ha vous avez surement sut ça de ma grand-mère et que connaissez-vous de mon grand-père ? réplique-je d’un ton de défi. - Son enfance, les secrets de sa bibliothèque et tiens as-tu trouvé la lettre dans le livre ? - Oui bien sûr pourquoi ? - Parce que ton grand-père te faisait confiance pour que tu la trouve, il en était certain et je vois qu’il n’a pas eu tort. - Il pensait vraiment cela ? et pouvez-vous raconté ce que vous savez de lui s'il vous plait? la questionne-je soudain intéressée par cette personne. - Oui bien sûr (elle raconte alors tout ce qu’elle savait sur lui c'est-à-dire beaucoup de chose...) - Merci pour ces renseignements et je voudrai qu’on reparte de zéro si cela ne vous dérange pas ? demande-je - Oui je suis d’accord avec toi, maintenant il faut que je te laisse ta grand-mère est seule depuis un bon moment et dois s’inquiéter. » Sur ce elle part et me laisse seul ébahie et voyant que cela fait déjà une heure et demi que je parlais avec elle. Je pars prendre un bon bain et à dix neuf heures nous passons à table tout en bavardant gaiement. Je vais me coucher tôt car demain nous partons à sept heures et demie car il faut une heure d’attente avec tous les bagages et les tickets (qui coûtent quatre cent quatre-vingt euros pour chacune de nous aller et retour compris avec la compagnie British Airways. Le lendemain les adieux sont plus durs que prévu et je ressentis une tristesse de quitter ma chienne même pour seulement quatre jours. A l’aéroport je m’assois sur un siège pendant que ma grand-mère va faire tout les papiers (elle a insisté pour y allait seule). Huit heures et demie l’avion décolle pour treize heures de voyage et je m’endors donc après avoir regardé deux films. Nous arrivons à l’aéroport JF Kennedy à vingt et une heure trente en heure de France donc quatorze heures de l’après-midi ici ce que je trouve assez déstabilisant tout de même, épuisées mais heureuses d’être là et je découvre alors la ville de New York avec tous ses habitants et ses touristes qui sont de toutes les nationalités avec leur langue, accent ou vêtements qui me permet de les remarquer. Il ya même des calèches de deux, trois, quatre, six ou huit chevaux magnifiquement attelés, des taxis jaunes, des voitures, d’immenses gratte-ciels, des magasins partout, des policiers ce qui me rassure, le métro et j’aperçois au loin l’Empire State Building. Nous interceptons un taxi lui montrons l’adresse de l’hôtel Belnord Hotel qui est 209 West Street et sans un mot le chauffeur démarre. En regardant cette immense ville je réfléchis à ma journée de demain qui consiste à prendre le métro n°1 à l’arrêt situé à une minute de l’hôtel à pied pour trente minutes de métro surtout dans la rue Broadway pour aller à la bibliothèque Hudson Park Library qui est dans la rue 66 Leroy Street. Je remarque que dans les rues il y a de nombreux arbres et que malgré la chaleur étouffantes les touristes trainent toujours dans les rues ce qui nous fait perdre du temps mais le chauffeur habitué à cela zigzague entre tous les bus, voitures, piétons …. A quinze heures trente il nous dépose devant le grand hôtel en réclamant ses soixante quinze dollars que nous lui donnons en le remerciant mais il démarre aussitôt. Je rentre dans l’hôtel en n’ayant qu’une envie : dormir après m’être installée et aussi être le lendemain demain. Décidemment la ville de New-York me réserve de bonnes et de mauvaises surprises mais j’ai hâte de commencer mes recherches et de la visiter. Keraudren Ilona 2nd 7 <!-- ============= LIEN D'ACCES RAPIDE - NE PAS SUPPRIMER ============= --> <br/><hr> * [[Accueil | Retour à la page d'accueil]] <!-- ============== MISE EN CATEGORIE - NE PAS SUPPRIMER ============ --> [[Catégorie:GeoWiki/Articles]] [[Catégorie:avatar]] [[Catégorie:Récit de voyage]] [[Catégorie:Récit de voyage 2015]]
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