Recit de voyage

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(le voyage aux États-Unis en passant par les Açores)
 
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Le matin, le facteur passa leur apporter un colis, pas très gros, d'une vingtaine de centimètres cubes dont ils ignoraient le contenu. Le vieux se pressa d'aller ouvrir le paquet. Il l'ouvrit et découvrit ce qu'il y avait dedans. Une carte verte qui avait été délivrée à leurs noms. Il garda cela en secret jusqu'au repas du soir où il leur dit :
 
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« le paquet que nous avons reçu,ce sont des ''green cards''. Elles nous ont été données par le gouvernement américain qui en donne, comme ça, à la loterie.
 
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Elles permettent de vivre aux États-Unis.
 
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Nous avons eu beaucoup de chance...  
 
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Comme ça, nous pourrions aller réaliser notre rêve de la bijouterie de New-York »
Le matin, le facteur passa leur apporté un colis, pas très gros, d'une vingtaine de cm cube qui laissait désiré. Le vieux se pressa d'aller ouvrir le paquet. Il l'ouvra et découvrit ce qu'il y avait. Une carte verte qui avait été délivré à leurs noms. Il garda ça en secret jusqu'au repas du soir où il leur dit :
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Le repas se termina dans la gaieté parfaite : tous étaient enthousiasmés par la nouvelle.  
« le paquet que nous avons reçu sont des green cards . Elles nous ont été données par le gouvernement Américain qui en donne comme ça à la loterie. Nous avons eu beaucoup de chance...
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Comme ça nous pourrions aller réaliser notre rêve de la bijouterie de New-York »
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Le repas se termina dans la gaieté parfaite tous était enthousiasmé par la nouvelle.  
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L'un dit : « Viva l'Amérique !!! »
 
L'un dit : « Viva l'Amérique !!! »
 
L'autre dit : « Amérique nous voici !!! »
 
L'autre dit : « Amérique nous voici !!! »
Après manger, l'ancêtre leurs ordonna d'aller faire leurs bagages et qu'il partait le lendemain matin. Ce qu'ils allèrent faire directement. Dans une valise collectif était entassé chaussettes, strings, T-shirts, pulls, jeans, sweats, affaires de toilettes, gel douche, et leur ballon de football. Après avoir fini leurs bagages, ils allèrent faire leur toilette et allèrent dans leur lit. Ils discutèrent assez longtemps du voyage qu'ils allait effectuer le lendemain et s’endormirent dans de beaux et somptueux rêves.
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Après manger, l'ancêtre leur ordonna d'aller faire leurs bagages et leur annonça qu'ils partaient le lendemain matin. Ce qu'ils firent aussitôt. Dans une valise collective étaient entassés chaussettes, slips, T-shirts, pulls, jeans, sweats, affaires de toilette, gel douche, et leur ballon de football. Après avoir fini leurs bagages, ils firent leur toilette et se couchèrent. Ils discutèrent assez longtemps du voyage qu'ils allaient effectuer le lendemain et s’endormirent dans de beaux et somptueux rêves.
Le lendemain, leur « père » vint les réveillés. Dès qu'il fût entré dans la pièce, ils étaient déjà tous prêt. Ils partirent donc un peu en avance de chez eux.  Ils sortirent de chez eux et remontèrent le boulevard Pasteur pour ensuite suivre le boulevard Garibaldi. Arrivé à la place Cambronne, ils continuèrent tout droit pour longé le boulevard de Grenelle et au bout de celui-ci arrivèrent au port de Grenelle où un bateau les attendait. Un monsieur était sur le pont de la petite péniche et leur cria de loin « Ohé monsieur Lavarieux »
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Le lendemain, leur « père » vint les réveiller. Dès qu'il fut entré dans la pièce, ils étaient déjà tous prêts. Ils partirent donc un peu en avance de chez eux.  Ils sortirent de chez eux et remontèrent le boulevard Pasteur pour ensuite suivre le boulevard Garibaldi. Arrivés à la place Cambronne, ils continuèrent tout droit pour longer le boulevard de Grenelle et au bout de celui-ci arrivèrent au port de Grenelle où un bateau les attendait. Un monsieur était sur le pont de la petite péniche et cria « Ohé ! monsieur Lavarieux »
Là, le vieux se mit a regardé le capitaine avec un air furieux, il n'aime pas qu'on l'appelle par son nom de famille qui reflète son caractère. Mais il garda son sang-froid et lui adressa un sourire. Enfin, il embarquèrent dans le bateau, chacun trouva une place pour lui, même si ils étaient tout serré. Et là commençait un long voyage pour les cinq enfants et leur « père ». L'embarcation serpentait le fleuve en direction du Havre. Ils ne s'arrêtèrent que pour dormir la nuit  et encore pas très longtemps pour pouvoir maximiser leur voyage. Le lendemain, en fin de matinée, vers onze heure et demi, ils apercevèrent le port du Havre. Arrivés au Havre, ils débarquèrent sur la côte, où ils allèrent, sans plus tardé, trouvé leur cargo pour la grande traversée de l'Atlantique. Enfin trouvé, ils montèrent à bord après toute les recommandations qui leur ont été faites. Ils rentrèrent dans une espèce de grande pièce qui était en faite un dortoir du vapeur. La troisième classe, pas très confortable, leur convint très bien même si l'odeur et la vision de gens n'est pas très gracieux. En même temps, ils ne l'ont pas payer très cher la place dans ce bateau. Mais ils se disait que ils n'en avaient plus que pour six à sept jours maximum. Là, le bateau commença à avancer et le vieux fahit trébucher par terre mais ce retenu sur une des barres placés au plafond pour le linge ou toute autres accessoires. Le groupe s'avança vers des lits au fond de la pièce. Ils choisirent un lit pour le vieux un peu plus grand que les autres avec un oreiller. Un autre pour les deux plus petits, ils était plus petit que celui du « père » et ils devaient être deux dedans et n'avait même pas de coussin en plus. Un troisième pour les deux suivant en âge, celui-ci était d'une taille entre celui du vieux et celui des deux cadets mais avait deux oreillers. Et le dernier pour l'ainé, il était plus petit que tout les lits du dortoir, n'avait pas d'oreiller, mais il l'avait pour lui tout seul. Ensuite ils s'installèrent et attendirent les deux jours et demi qu'ils fallait avant d'arrivé aux îles des Açores. Enfin aux Açores, ils contemplèrent le magnifique panorama qu'ils pouvaient observé et ils n'étaient pas les seul, tout les passagers du cargo étaient là aussi. Le port des Açores, resplendissant dans toute sa valeur avec tout ses bateaux amarrés à celui-ci, avait aussi de jolies  maisons derrière lui, qui signifiait sa puissance. Et pour combler le tout, les montagnes en vagues offrait un délicieux paysage, leur pointe recouverte de nuages gris brumeux clair. Enfin le bateau s'arrêta au port pour réapprovisionner le bateau en carburant et les passagers ont un temps de pause exceptionnel de vingt-cinq minutes.
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Là, le vieux se mit à regarder le capitaine avec un air furieux, parce qu'il n'aimait pas qu'on l'appelât par son nom de famille qui reflétait trop bien son caractère. Mais il garda son sang-froid et lui adressa un sourire. Enfin, ils embarquèrent dans le bateau, chacun trouva une place pour lui, même s'ils étaient tous serrés. Et là commençait un long voyage pour les cinq enfants et leur « père ». L'embarcation serpentait sur le fleuve en direction du Havre. Ils ne s'arrêtèrent que pour dormir la nuit  et encore pas très longtemps pour pouvoir accélérer leur voyage. Le lendemain, en fin de matinée, vers onze heures et demi, ils aperçurent le port du Havre. Arrivés au Havre, ils débarquèrent sur la côte, où ils allèrent, sans plus tarder, trouver leur cargo pour la grande traversée de l'Atlantique. Enfin trouvé, ils montèrent à bord après toutes les recommandations qui leur avaient été faites. Ils rentrèrent dans une espèce de grande pièce qui était, en fait, un dortoir du vapeur. La troisième classe, pas très confortable, leur convint très bien, même si l'odeur et la vision de tous ces gens n'étaient pas très agréables. En même temps, ils ne l'avaient pas payé très cher la place dans ce bateau ; et ils se disaient qu'ils n'en avaient plus que pour six à sept jours maximum. Là, le bateau commença à avancer et le vieux faillit trébucher par terre mais se retint sur une des barres placées au plafond pour le linge ou tout autre accessoire . Le groupe s'avança vers des lits au fond de la pièce. Ils choisirent un lit pour le vieux, un peu plus grand que les autres, avec un oreiller. Un autre pour les deux plus jeunes, qui était plus petit que celui du « père » ; ils devaient être deux dedans et ce lit n'avait même pas de coussin en plus. Un troisième pour les deux suivants en âge ; celui-ci était d'une taille entre celui du vieux et celui des deux cadets mais avait deux oreillers. Et le dernier pour l’aîné, il était plus petit que tous les lits du dortoir, n'avait pas d'oreiller, mais il l'avait pour lui tout seul. Ensuite ils s'installèrent et attendirent deux jours et demi avant d'arriver aux îles des Açores. Enfin aux Açores, ils contemplèrent le magnifique panorama qu'ils pouvaient observer et ils n'étaient pas les seuls, tous les passagers du cargo étaient là aussi. Le port des Açores, resplendissant dans toute sa beauté avec tous ses bateaux amarrés à celui-ci, avait aussi de jolies  maisons à l'arrière, qui signifiaient sa richesse. Ils pouvaient même observer des gens sur les plages sur les cotés du port, qui étaient heureux et montraient un grand sourire. Dans la ville, ils aperçurent une foule de personnes qui s'avançait vers la place de la ville. Il y avait aussi des lumières et des déguisements. Et pour combler le tout, les montagnes en vagues offrait un délicieux paysage ; leur pointe recouverte de nuages gris brumeux clair finalisait ce fond de toile. Enfin le bateau s'arrêta au port pour réapprovisionner le bateau en carburant et les passagers eurent un temps de pause exceptionnel de vingt-cinq minutes. Pendant cette pause, la bande, composée par le vieux et les cinq enfants, allèrent voir ce mouvement de foule qu'ils avaient observé un peu avant. En s'approchant, ils remarquèrent que cette communauté était en fait un groupe de personnes costumées, qui faisait la fête, comme tous les ans à ce moment de l'année. La date du jour était en fait le vingt-neuf août. En se renseignant, ils découvrirent que la festivité s’appelait « cavalhadas de San Pedro ». Ils participèrent à cette fête, où un ''roi'', des cavaliers, des lanciers et des joueurs de cornet étaient vêtus de costumes colorés, pendant le temps de pause qui leur était accordé. Ils étaient tous sur des chevaux lustrés qui défilèrent dans la rue. Ensuite, ils rejoignirent le bateau avec un peu de retard. Ils se firent enguirlander par le capitaine et ils se firent donc aussi remarquer par les passagers. Le bateau put, enfin, démarrer et se dirigea vers New-York. Peu avant le milieu du voyage « Açores  New-York », une terrible tempête éclata et l'embarcation fut secouée. L'eau commença à rentrer sur le pont ; les deux plus vieux enfants, réactifs, prirent des seaux et commencèrent à enlever l'eau. L’aîné appela les autres enfants du groupe qui ne participaient pas déjà à l'écopage : - Théodore, Tristan, Tom, venez nous aider à retirer l'eau !
 
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- oui mais où sont les seaux ? 
 
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-  ils sont là près des cordages et des instruments de nettoyage !
 
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- oui je les vois, attention une vague !!! 
 
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la vague s'échoua sur le bateau, mais les enfants s'en tirèrent sans aucun dommage grâce à leur ''frère''.
 
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« Merci » dirent les enfants qui furent sauvés.
 
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Les enfants et d'autres personnes par la suite vinrent aider à écoper l'eau. Une fois la tempête terminée, ils finalisèrent l'écopage et allèrent se reposer. Deux jours plus tard, le club des cinq aperçut le rivage où se dessinait la côte de New-York. Le littoral se distingua au fur et à mesure que le bateau s'approcha. Ils arrivèrent au point de pouvoir distinguer les activités du bord de mer. L'embarcation entra dans le port de New-York où d'immenses bateaux y étaient amarrés. Elle avança doucement dans le port pour respecter la limitation de vitesse. Le bateau longea ''governors Island''. Là, l'ensemble des passagers resta bouche bée devant la chose la plus merveilleuse au monde à leurs yeux : La ''Skyline'' New-yorkaise aux gigantesques gratte-ciels, de différentes formes, de différentes hauteurs et de différentes architectures, était la cause de leur bouche béante... L'embarcation s'arrêta dans le port, s'amarra à celui-ci et le voyage du clan se termina.
 
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Version actuelle en date du 16 avril 2014 à 09:24