Recit de voyage

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(Maho découvre la vie New-Yorkaise)
 
 
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Le matin, le facteur passa leur apporter un colis, pas très gros, d'une vingtaine de centimètres cubes dont ils ignoraient le contenu. Le vieux se pressa d'aller ouvrir le paquet. Il l'ouvrit et découvrit ce qu'il y avait dedans. Une carte verte qui avait été délivrée à leurs noms. Il garda cela en secret jusqu'au repas du soir où il leur dit :
 
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« le paquet que nous avons reçu,ce sont des ''green cards''. Elles nous ont été données par le gouvernement américain qui en donne, comme ça, à la loterie.
 
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Elles permettent de vivre aux États-Unis.
 
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Nous avons eu beaucoup de chance...  
 
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Comme ça, nous pourrions aller réaliser notre rêve de la bijouterie de New-York »
Le téléphone sonna au secrétariat du service de pédiatrie. Un appel était destiné à Maho, il fut donc alerté. C'était un appel très important, au bout du fil, il y avait Katharina Harf présidente de l'association DKMS. C'était une association qui entreprenait un combat contre le cancer. Madame Harf organisait dans trois mois une conférence entre les médecins spécialisés dans les cancers infantiles, Maho y fut convié. Madame Harf lui avait dit qu'il recevrait un appel de Craig Thompson directeur de l’hôpital qui accueille cette réunion : Memorial Sloan-Kettering Cancer Center. A la fin de cet appel Maho était existé à l'idée d'aller dans un des meilleurs hôpitaux du monde mais douteux du futur appel. Deux jours après Monsieur Thompson l'appelait pour lui annoncer une nouvelle qui pouvait changer sa vie. Une place se libérait dans son service pédiatrique. Il avait entendu parler de Maho par les médias, en effet son histoire avait touché beaucoup de personne et il était surtout un très bon médecin. Il avait trois jours pour se décider avant que le directeur appelle un autre médecin. Sa décision ne fut pas dur à prendre, la réponse était oui! A présent il avait moins trois mois pour se préparer il n'avait qu'une idée en tête; organiser son grand voyage.  Il fallait qu'il se préoccupe de ses papiers. Son passeport était à jours depuis qu'il était allé grâce à l'association «Rêves» réaliser son rêve en Égypte. Il désirait par dessus tout voir les pyramides au moins une fois dans sa vie. Il avait pu concrétiser son rêve à ses quatorze ans, bien après sa guérison, les médecins avaient peur d'une rechute avant le voyage. Pour être en règle, il avait fait refaire son passeport après les cinq ans de validité pour les mineurs et une autre fois car il avait passé le délai. Son passeport il l'avait, il fallait maintenant qu'il réponde aux questions de l'ESTA. Il y répondit et l'envoya a l'ambassade Américaine. La réponse fut rendue « autorisation validée ».
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Le repas se termina dans la gaieté parfaite : tous étaient enthousiasmés par la nouvelle.  
Il était nécessaire qu'il n’oubliait pas non plus de s'occuper des enfants. Son remplaçant était déjà arrive, c'était un médecin d'une trentaine d’année et qui travaillait avant au CHU de Bordeaux. Pendant deux semaines il suivait Maho dans sa vie quotidienne à l’hôpital.
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L'un dit : « Viva l'Amérique !!! »
Le départ approchait et son stress s'amplifiait, comment allait-il évaluer ses dépenses courantes et spéciales? Comment allait-il s'organiser pour son déménagent ? Il avait pris un billet d'avion en classe business et avait pris seulement un aller simple. Il partait dans cinq jours et cela faisait une semaine qu'il avait quitté le service. Il revint a l’hôpital pour dire au revoir a ses collègues et surtout aux enfants. Il leur a dit qu'il fallait toujours croire en ses rêves, ne jamais renoncer car là un de ses rêves venait de se réaliser. Une larme coula sur sa joue, c'était la première fois qu'il laissait paraître ses émotions, ses sentiments. Il leur a promis de les appeler au moins une fois par semaine. En quittant l’hôpital il se retourna une dernière fois, lorsqu'il vit l’hôpital dans toute sa splendeur sa vie défila, tous les souvenirs, bons et mauvais lui revinrent en mémoire. Un nouveau chapitre va sûrement commencer.
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L'autre dit : « Amérique nous voici !!! »
  On était mi-juin le jour du départ est arrivé, il prit le taxi en direction de l’aéroport Orly. Son vol était à midi quarante, dans le taxi il regarda si il avait bien tous ses papiers, il avait peu de bagages le reste arriverait quelques temps plus tard. Lorsqu'il arriva a l'aéroport, il se dirigea vers son couloir. Des contrôleurs étaient là pour fouiller les voyageurs. Ils prirent les affaires de Maho pour les mettre dans le scanner à métal, et examinèrent Maho de haut en bas. Le contrôle c'était passé sans problème, il pouvait déposer ses affaires sur le tapis roulant et rentrer dans l'avion. Il s'était installer dans l'avion, celui-ci était prêt à décoller. Lors du décollage Maho fut plaqué contre son siège, peu de temps après l'avion avait régulé sa vitesse, il passait au dessus de nombreuses villes françaises, puis il quitta le pays survolant la mer atlantique. Après deux heures et quart, une petite île attira son attention, il venait de passer pas loin du Portugal, c'était alors sûrement une île portugaise. De l'avion Maho ne pouvait pas définir si il y avait des habitations. De plus petits îlots l'entourait . Il voyait de nombreuses plaines, les nuages qui flottaient au dessus de l’île, ne laissaient apercevoir l’île dans sa globalité. Les couleurs étaient magnifiques. Autour de l’île la mer était légèrement agitée, au plus prés de l’île la mer était claire plus on s'éloignait plus elle devenait sombre. Sur une carte précise, fourni par la compagnie aérienne, il devina que cet archipel  se nommait « Lajes das Flores ». Il fit des recherches sur internet. Maho découvrit que cette île comportait des habitations et qu'elle était très touristique. Cela faisait déjà une heure qu'il avait passé cet archipel.
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Après manger, l'ancêtre leur ordonna d'aller faire leurs bagages et leur annonça qu'ils partaient le lendemain matin. Ce qu'ils firent aussitôt. Dans une valise collective étaient entassés chaussettes, slips, T-shirts, pulls, jeans, sweats, affaires de toilette, gel douche, et leur ballon de football. Après avoir fini leurs bagages, ils firent leur toilette et se couchèrent. Ils discutèrent assez longtemps du voyage qu'ils allaient effectuer le lendemain et s’endormirent dans de beaux et somptueux rêves.
Maho s'était endormit, il était serein, décidé a réussir en Amérique, c'était en quelque sorte son rêve américain. Dans deux heures il posait les pieds sur le sol américain, une hôtesse de l'air lui apporta un questionnaire d'entrée en Amérique. On pouvait aussi appeler ce formulaire, questionnaire de confiance. Les Américains avaient besoin d’être conscient et confiant des arrivants dans leurs pays. Il avait des questions du genre «  Avez vous déjà commit un crime ? » ou bien « Avez vous trouvé du travail en Amérique ? ». Maho était un homme droit, loyal, une personne de confiance, de plus il avait déjà trouvé du travail. Quelques temps après qu'il eut fini de remplir ce formulaire, une hôtesse de l'air au micro leur annonça, qu'ils allaient bientôt atterrir et qu'ils devaient rattacher leurs ceintures ? Maho était stressé il avait peur des atterrissages, il savait que si il y avait un problème avec l’avion c'était souvent a l’atterrissage que ça se produisait. Il sentait l'avion se pencher et prendre de la vitesse. Après quelques secondes l'avion commença a ralentir pour une meilleure approche avec le sol. Dès le premier contact avec le sol, il ralentissais encore plus, pour perdre encore plus de vitesse et s’arrêter devant l'escale il effectua un tour de piste. Maho fut arrivé à bon-port à l’aéroport John.F Kennedy. Son chauffeur privé l'attendait a la sortie de l'avion. Le chauffeur s'appelait Olivier c'était un français venu travailler à New-York, cela faisait cinq qu'il était arrivé en Amérique, et connaissait la route très bien. Leur premier contact fur cordial, Olivier fut le premier a parler :
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Le lendemain, leur « père » vint les réveiller. Dès qu'il fut entré dans la pièce, ils étaient déjà tous prêts. Ils partirent donc un peu en avance de chez euxIls sortirent de chez eux et remontèrent le boulevard Pasteur pour ensuite suivre le boulevard Garibaldi. Arrivés à la place Cambronne, ils continuèrent tout droit pour longer le boulevard de Grenelle et au bout de celui-ci arrivèrent au port de Grenelle où un bateau les attendait. Un monsieur était sur le pont de la petite péniche et cria « Ohé ! monsieur Lavarieux »
« Enchanté, si je comprends bien je suis votre chauffeur jusqu'à ce que vous vous sentiez à l'aise?
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Là, le vieux se mit à regarder le capitaine avec un air furieux, parce qu'il n'aimait pas qu'on l'appelât par son nom de famille qui reflétait trop bien son caractère. Mais il garda son sang-froid et lui adressa un sourire. Enfin, ils embarquèrent dans le bateau, chacun trouva une place pour lui, même s'ils étaient tous serrés. Et commençait un long voyage pour les cinq enfants et leur « père ». L'embarcation serpentait sur le fleuve en direction du Havre. Ils ne s'arrêtèrent que pour dormir la nuit  et encore pas très longtemps pour pouvoir accélérer leur voyage. Le lendemain, en fin de matinée, vers onze heures et demi, ils aperçurent le port du Havre. Arrivés au Havre, ils débarquèrent sur la côte, où ils allèrent, sans plus tarder, trouver leur cargo pour la grande traversée de l'Atlantique. Enfin trouvé, ils montèrent à bord après toutes les recommandations qui leur avaient été faites. Ils rentrèrent dans une espèce de grande pièce qui était, en fait, un dortoir du vapeur. La troisième classe, pas très confortable, leur convint très bien, même si l'odeur et la vision de tous ces gens n'étaient pas très agréables. En même temps, ils ne l'avaient pas payé très cher la place dans ce bateau ; et ils se disaient qu'ils n'en avaient plus que pour six à sept jours maximum. , le bateau commença à avancer et le vieux faillit trébucher par terre mais se retint sur une des barres placées au plafond pour le linge ou tout autre accessoire . Le groupe s'avança vers des lits au fond de la pièce. Ils choisirent un lit pour le vieux, un peu plus grand que les autres, avec un oreiller. Un autre pour les deux plus jeunes, qui était plus petit que celui du « père » ; ils devaient être deux dedans et ce lit n'avait même pas de coussin en plus. Un troisième pour les deux suivants en âge ; celui-ci était d'une taille entre celui du vieux et celui des deux cadets mais avait deux oreillers. Et le dernier pour l’aîné, il était plus petit que tous les lits du dortoir, n'avait pas d'oreiller, mais il l'avait pour lui tout seul. Ensuite ils s'installèrent et attendirent deux jours et demi  avant d'arriver aux îles des Açores. Enfin aux Açores, ils contemplèrent le magnifique panorama qu'ils pouvaient observer et ils n'étaient pas les seuls, tous les passagers du cargo étaient là aussi. Le port des Açores, resplendissant dans toute sa beauté avec tous ses bateaux amarrés à celui-ci, avait aussi de jolies  maisons à l'arrière, qui signifiaient sa richesse. Ils pouvaient même observer des gens sur les plages sur les cotés du port, qui étaient heureux et montraient un grand sourire. Dans la ville, ils aperçurent une foule de personnes qui s'avançait vers la place de la ville. Il y avait aussi des lumières et des déguisements. Et pour combler le tout, les montagnes en vagues offrait un délicieux paysage ; leur pointe recouverte de nuages gris brumeux clair finalisait ce fond de toile. Enfin le bateau s'arrêta au port pour réapprovisionner le bateau en carburant et les passagers eurent un temps de pause exceptionnel de vingt-cinq minutes.  Pendant cette pause, la bande, composée par le vieux et les cinq enfants, allèrent voir ce mouvement de foule qu'ils avaient observé un peu avant. En s'approchant, ils remarquèrent que cette communauté était en fait un groupe de personnes costumées, qui faisait la fête, comme tous les ans à ce moment de l'année. La date du jour était en fait le vingt-neuf août. En se renseignant, ils découvrirent que la festivité s’appelait « cavalhadas de San Pedro ». Ils participèrent à cette fête, où un ''roi'', des cavaliers, des lanciers et des joueurs de cornet étaient vêtus de costumes colorés, pendant le temps de pause qui leur était accordé. Ils étaient tous sur des chevaux lustrés qui défilèrent dans la rue. Ensuite, ils rejoignirent le bateau avec un peu de retard. Ils se firent enguirlander par le capitaine et ils se firent donc aussi remarquer par les passagers. Le bateau put, enfin, démarrer et se dirigea vers New-York. Peu avant le milieu du voyage « Açores  New-York », une terrible tempête éclata et l'embarcation fut secouée. L'eau commença à rentrer sur le pont ; les deux plus vieux enfants, réactifs, prirent des seaux et commencèrent à enlever l'eau. L’aîné appela les autres enfants du groupe qui ne participaient pas déjà à l'écopage : - Théodore, Tristan, Tom, venez nous aider à retirer l'eau !
- Enchanté, oui c'est tout a fait ça.
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- oui mais où sont les seaux ? 
- Où je dois vous emmener?
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-  ils sont là près des cordages et des instruments de nettoyage !
- A l’hôtel Bentley, 500 East 62nd Street, s'il vous plaît.»
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- oui je les vois, attention une vague !!! 
Durant les vingt-cinq minutes de voiture, une conversation s'engagea entre les deux. Olivier demanda pourquoi Maho avait décidé l’Amérique. Et Maho lui demanda comment était la vie tous les jours à New-York, cette vie était très fatigante. Comme l’aéroport était situé dans l'arrondissement du Queens, il devait passer par le pont «  Ed Koch Queensboro Bridge » celui-ci passait par l’île Roosvelt Island. La première vue qu'il eut de Manhattan fut ces grattes-ciel, ses immeubles, il pouvait aussi remarquer de la verdure, tout cela il le voyait du pont. Maho fut très enthousiaste à l’idée de commencer une nouvelle vie.
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la vague s'échoua sur le bateau, mais les enfants s'en tirèrent sans aucun dommage grâce à leur ''frère''.
 
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« Merci » dirent les enfants qui furent sauvés.
 
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Les enfants et d'autres personnes par la suite vinrent aider à écoper l'eau. Une fois la tempête terminée, ils finalisèrent l'écopage et allèrent se reposer. Deux jours plus tard, le club des cinq aperçut le rivage où se dessinait la côte de New-York. Le littoral se distingua au fur et à mesure que le bateau s'approcha. Ils arrivèrent au point de pouvoir distinguer les activités du bord de mer. L'embarcation entra dans le port de New-York où d'immenses bateaux y étaient amarrés. Elle avança doucement dans le port pour respecter la limitation de vitesse. Le bateau longea ''governors Island''. Là, l'ensemble des passagers resta bouche bée devant la chose la plus merveilleuse au monde à leurs yeux : La ''Skyline'' New-yorkaise aux gigantesques gratte-ciels, de différentes formes, de différentes hauteurs et de différentes architectures, était la cause de leur bouche béante... L'embarcation s'arrêta dans le port, s'amarra à celui-ci et le voyage du clan se termina.
 
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Version actuelle en date du 16 avril 2014 à 09:24