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Récit de voyage de Stéphane Haroz
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<!-- ======================================================= --> <!-- --> <!-- CONTENU DE L'ARTICLE - ÉCRIRE CI-DESSOUS --> <!-- --> <!-- ======================================================= --> Le père de Stéphane, Michel, vivant dans l'arrondissement du Queens à New-York, l'avait appelé la veille pour lui faire une proposition. Il a six mois, Stéphane a réalisé son projet, il a enfin réalisé le rêve de sa fille. Au bout de deux mois, son émouvante histoire l’amenait sur des plateaux télévisés où il était invité pour raconter son ascension du Mont Blanc. Parmi les différentes interviews, c'est celle des « Incroyables histoires » qui passera, sans que Stéphane ne le sache, sur une chaîne New-Yorkaise et c'est cette interview que Michel avait vu. En réalisant ce périple, Stéphane pensait pouvoir faire beaucoup plus facilement son deuil mais ce n'était pas le cas. La proposition de son père lui avait alors donné un nouvel espoir. En effet, Michel souhaitait que Stéphane vienne lui rendre visite chez lui, à New-York. Michel n'avait pas vraiment assumé son rôle de père après le décès de Jade où ce fut une période très difficile pour Stéphane et sa femme. Cela faisait maintenant une heure que Stéphane tenait dans sa main son téléphone. Il devait appeler son père pour lui donner une réponse pour sa proposition. Stéphane n'avait pas vu son père depuis plusieurs années, il ne comprenait pas vraiment pourquoi il l'invitait maintenant. Après mûr réflexion, une idée vint à Stéphane : il allait profiter d'être aux États-Unis pour faire partager son histoire à l'Amérique et pourquoi pas au monde entier ! Son père, ancien journaliste très réputé dans le pays, avait beaucoup de contact dans le milieu de la télé, il pourrait donc facilement lui faire rencontrer des journalistes. Stéphane appela sa femme et lui demanda son accort pour quitter la maison, pour un moment encore indéterminé. Pour réponse, elle le prit dans ces bras et lui dit qu'il fallait qu'il fasse tout son possible pour faire son deuil. De plus, Jade aimait beaucoup son grand-père et elle avait toujours rêvé de lui rendre visite à New-York. Si elle n'avait pas perdu la vie si tôt, elle y serait allée pour ces dix huit ans. Stéphane prit son téléphone et composa le numéro de son père. Il était sur messagerie. Même à la retraite, Michel est un homme très occupé. Stéphane laissa un message : « Papa, c'est Stéphane. J'ai bien réfléchi et je vais accepter ta proposition, mais j'aimerais que tu me rende un service. Rappel-moi. » Il était minuit passé. Stéphane fut sortit de son sommeil par la sonnerie de son téléphone. Son smartphone affichait le nom « Papa ». Il ne fut pas surprit par cet appel nocturne ; à New York, il était dix huit heure. Il décrocha, sortit de la chambre en prenant soin de bien refermer la porte derrière lui pour que sa conversation téléphonique ne gène pas le sommeil de sa femme. Il partit s’asseoir dans le petit fauteuil en cuir de son salon. Il expliqua son idée à son père. Stéphane appréhendait sa réaction. Allait-t-il être d'accord ? Après son explication détaillé, Michel marqua une courte pause. « Évidement que j'accepte. Après tout, j'ai des choses à me faire pardonner. » Un large sourire se dessina sur son visage. Il criait de joie intérieurement. Extérieurement, il se contenta de remercier son père. Oui, Stéphane est comme ça, il ne montre pas facilement ces sentiments. Michel lui demanda quand il viendrait. Stéphane ne pouvait pas lui donner de date précise pour le moment, il savait juste que son départ ne sera pas avant deux semaines, pour attendre l'arrivé de sa belle-sœur car il ne voulait pas laisser son épouse seule chez elle. De plus, il allait devoir demander à son patron plusieurs semaines de congés. Le lendemain de l'appel de son père, Stéphane se leva comme à son habitude, à sept heures. Il s'habilla et partit déjeuner. A huit heure il quittait sa maison, à pied, pour se rendre à son travail. Aujourd'hui il allait demander à son parton si d'ici quinze jours, il pouvait prendre des vacances. Son patron est quelqu'un de très aimable et il s'entend très bien avec lui. Il a également su être présent pour lui après le décès de Jade. Stéphane arriva dans la boutique de randonnée. Il leva les grilles protégeant la porte d'entrée et la vitrine. Son patron entra, ils se saluèrent. Stéphane ne tarda pas à lui demander s'il pouvait prendre plusieurs semaines de vacances et il lui expliqua les raisons de son voyage. Il accepta directement même si il allait devoir gérer la boutique seul pendant un moi de Janvier où elle ne désemplit pas. Stéphane prit son portable et envoya un message à sa femme pour lui dire qu'il allait pouvoir partir. Il était dix huit heure. Stéphane quitta son travail et rentra chez lui. La ville de Chamonix était recouvert d'un épais manteau blanc. Les enfants jouait dans la neige. Il pensa à Jade qui aurait dû être dehors à jouer avec ces amies. Il arriva à dix huit heure quinze chez lui. Sa femme lui dit en arrivant qu'elle c'était occupé de regarder si tout ces papiers étaient à jour pour son voyage. Il allait devoir renouveler son passeport, remplir l'ESTA, donner un justificatif de logement et dans l'avion, il devra remplir un papier indiquant les raisons de son voyage et ces affaires emportés. Pour renouveler son passeport il lui fallait compter quinze jour. Il partit immédiatement à la mairie pour qu'il l'ai le plus rapidement possible. En rentrant, il compara les différents tarifs de vols pour New-York. C'est avec la compagnie « Air América » qu'il commanda son billet de vol, en allé simple, en seconde classe. Son billet lui coûtera tout de même 2 400€ mais le prix l'importait peu, il avait de l'argent mis de côté pour les petits imprévus comme celui-ci. Le départ était prévu le vingt huit janvier à treize heure trente cinq et il arriverait à l'aéroport de la Guardia dans l'arrondissement du Queens à seize heure vingt. Stéphane appela son père qui cette fois décrocha : « -Oui Papa, c'est Stéphane. Je viens de prendre mon billet de vol. Je décolle le vingt huit Janvier à treize heure trente cinq de l'aéroport d'Annecy et j'arriverais à seize heure vingt, heure local, à l'aéroport de la Guardia. -Très bien je viendrais te chercher. Tu as tous les papiers qu'il te faut ? -Oui et je récupère mon passeport renouvelé le vingt quatre Janvier. -Très bien. Alors je te dit à bientôt, j’attends avec impatience de te revoir. » Stéphane se contenta de lui répondre «A bientôt Papa.» et raccrocha. Il n'avait pas vraiment apprécié le fait qu'il ne l'aide pas après la mort de Jade. De plus, ils ne c'étaient pas vu depuis trois ans et c'étaient très peu eu au téléphone. Stéphane partit ce coucher vers vingt et une heure après avoir dîné et pris sa douche. Vingt sept Janvier. Demain était le grand départ pour Stéphane. Il était treize heure et il préparait sa valise. Petit à petit, la grosse valise noir ce remplissait de tee-shirt à manche ou sans, de jeans, de pull, de sous-vêtements... Sa valise finit, il rangea précieusement dans sa sacoche tous les papiers dont il avait besoin pour partir et son billet de vol. Demain, Stéphane partira à onze heure pour arriver vers midi à l'aéroport de Annecy. Son vole étant à treize heure trente cinq, il préférait arrivé une heure et demie avant. Aujourd'hui il neigeait beaucoup, beaucoup plus que d'habitude et cela inquiétait Stéphane. Il espérait que son vol ne serait pas reporté. Catherine, la sœur de sa femme était arrivé hier chez eux et elle allait rester jusqu'à ce que Stéphane rentre. Demain ils partirons tous ensemble à l'aéroport. Stéphane, sa femme et Catherine étaient à l’aéroport depuis une heure. Il avait validé son billet et ils mangeaient maintenant un sandwich sur un banc, dans le hall de l'aéroport de Meythet. Une petite alarme retentit dans le hall : « Mesdames, messieurs, votre attention s'il vous plaît. Le vol Annecy-New York la Guardia, prévu à treize heure trente cinq aura du retard, dû à la neige. Le temps de retard de ce vol est pour le moment indéterminé. Veuillez nous excusez. » Stéphane, sa femme et Catherine se regardèrent. Stéphane pris sa tête entre ces mains. Il partit dans une cabine téléphonique pour prévenir son père qu'il aurait du retard et qu'il lui enverrait un message quand il serait dans l'avion. Une heure après l'annonce du retard du vol de Stéphane, une nouvelle annonce retentis dans l'aéroport : « Mesdames, messieurs, votre attention s'il vous plaît. Le vol Annecy-New York la Guardia, prévu à treize heure trente cinq et ayant eu du retard est maintenant prêt, il décollera dans une demi heure. » Stéphane fut rassuré. Il prit sa valise par la longue poignée en métal et la fit rouler sur le sol en carrelage. Il se retourna vers sa femme et la prit dans ces bras. Il se dirent au revoir, il salua Catherine et partit. Il se dirigea vers la queue où toutes les personnes concernés par ce vol attendaient pour faire vérifier les billets puis monter dans l'avion. Il prit place dans l'avion près d'une jeune femme brune et envoya un message à son père pour lui dire qu'il arriverait vers dix huit heure. Dix minutes après que Stéphane ce soit installé dans l'avion, une hôtesse demanda à tous les passagers de mettre sa ceinture de sécurité pour le décollage. Stéphane avait déjà prit plusieurs fois l'avion mais jamais pour aller aux États-Unis, le protocole changeait donc légèrement. L’hôtesse passa dans les rangés pour distribuer un formulaire où il fallait indiquer les diverses affaires emmené pour le voyage. Cela faisait maintenant une heure que Stéphane était installé dans son fauteuil. L'avion survolait à présent la Costa Brava Espagnol. Stéphane se pencha au hublot qui était près de lui et admira le paysage. Tout d'abord, la côte Espagnol était plutôt sauvage, aride, mais il y avait tout de même quelques petits ports ancrés au bord de la côte avec des petites maisons, sûrement de pêcheurs et des sentiers côtiers qui permettait de se promener en toute tranquillité dans ce magnifique décors. En voyant ce paysage, Stéphane songea qu'à son retour, il pourrait emmener sa femme en week-end dans cette endroit idyllique, ressemblant aux calanques méditerranéenne. Plus l'avion avançait, plus les lieux touristiques apparaissait. Stéphane n'aimait pas spécialement ce genre d'endroit où il y a toujours beaucoup de monde et où l'Homme a défiguré le littoral en remplaçant l'herbe et les arbres par du bitume. Pour lui, c'était à la nature de dominer et non à l'Homme. Des kilomètres de plage défilait sous ces yeux. Même du ciel il arrivait à voir l'immensité des lieux. Toutes les plages étaient bordés d'hôtels, d’immenses villas avec piscines. Il y avait également deux grands ports aménagés où était amarré de grands voiliers et des yachts qui avait prit la places des petits bateaux de pêche. Stéphane se replaça dans son fauteuil et il se met à penser au Mont Blanc, au toit de l'Europe où tout était si pur mais il avait bien peur que tout ça disparaisse un jour, par la faute de l'Homme. Jade était très sensible à se sujet. Stéphane se souvenu alors que le jour où ils étaient allé à l'Aiguille du Midi, elle leur avait dit que ce n'était pas normal que l'on puisse approcher le Mont Blanc uniquement en prenant un téléphérique, que voir le Mont Blanc de près devrait se mériter. Elle avait bien raison Jade. Au bout de deux heures de vol, la voisine de Stéphane lui adressa la parole. Elle l'avait reconnu, elle avait vu plusieurs reportage sur son périple et elle trouvait très touchant se qu'il avait fait pour sa fille. Stéphane était surpris, c'était bien la première fois que quelqu'un qu'il ne connaissait pas lui disait qu'elle l'avait vu à la télé et qu'elle admirait se qu'il faisait. Il discuta avec Julie pendant une partie du voyage. Elle avait vingt cinq ans et elle partait à New-York pour voir sa famille. Elle n'avait pas pu se déplacer pendant les fêtes de Noël alors le faisait maintenant. Julie était très sympathique. Six heure après le décollage de l'avion, Stéphane était dans le ciel Américain. Il se pencha au hublot et vit la statue de la Liberté. Elle paraissait petite vue du ciel ! L'avion survola ensuite les immenses grattes-ciel du centre d'affaire de New-York. Stéphane était très impressionner. Petit à petit l'avion amorçait sa descente et approchait l'aéroport de la Guardia. L'hôtesse de l'air qui avait donné les consignes de sécurité au décollage ordonna aux passagers de mettre leur ceintures de sécurités ; tout le monde s’exécuta. Par la suite, l'avion perdait de plus en plus sa vitesse initiale. Stéphane aperçu par son hublot l'aéroport où il allait se poser. Il se rapprochait de plus en plus de la piste quand tout à coup, sans que Stéphane ne s'y attende, les roues frappèrent le tarmac et l'avion continua lentement sa course pour au final s'arrêter au bout de la piste. Stéphane était descendu de l'avion, il allait à présent chercher ces valises. Un étage surplombait le hall de l'aéroport. Stéphane y aperçu son père qui essayait de le trouver dans la foule. Stéphane leva la main en lui souriant. Michel vit son geste et le lui renvoya. Il lui montra les escaliers pour lui dire qu'il aller le rejoindre. Stéphane se dirigea vers les escaliers et se retrouva face à son père. Machinalement, ils se prirent dans leurs bras en se donnant une tape amical dans le dos. Michel demanda à Stéphane si il avait fait bon vol. Stéphane lui répondit que oui et il lui expliqua brièvement qu'il avait fait connaissance avec une jeune femme pendant le voyage. Ils partirent tous les deux chercher les baguages de Stéphane. Stéphane et Michel étaient à présent dans la voiture pour rejoindre la demeure de Michel, dans l'arrondissement du Queens. Michel vivait dans un quartier chic à quinze kilomètres de l'aéroport. Michel brisa le silence pensant qui s'était installé : « -Raconte moi ton périple fils. -Tu l'as vu à la télé, rétorqua Stéphane. -J'ai vu ton aventure en général, tu n'as pas raconté comment tu as réussi à gravir le Mont Blanc ! -Et bien... Le jour de la mort de Jade, je lui ai promis de réaliser ces rêves alors j'ai décidé de monter sur le toit de l'Europe, où Jade avait toujours voulu aller, pour admirer la beauté de notre monde. Stéphane marqua une pause, puis continua de raconter son histoire à son père : J'en ai parlé à Nicole et elle a refusé, elle avait trop peur qu'il m'arrive quelque chose. Je n'ai pas baissé les bras et j'ai eu l'idée d'en apprendre plus sur l'alpinisme par les livres. Chaque soirs après mon travail je me rendais à la bibliothèque de Chamonix où je trouvais mon bonheur. Personne ne connaissait la raison de ma venu dans le rayon des encyclopédies tous les soirs après dix huit heure. Après un an de documentation, je suis allé voir un guide. Je lui ai expliqué mes attentions et franchement, il ne croyait pas en moi, il pensait que je ne pouvait pas connaître l'alpinisme sans l'avoir pratiqué. Tu me connais, je n'ai pas abandonné, j'ai longuement insisté et il a finit par me proposer de passer un test après être allé voir un médecin pour obtenir un certificat d'aptitude aux sports à risques. Le lendemain de ma venu dans l'agence d'alpinisme, j'avais mon certificat médical. Bruno, le guide, me donna rendez vous la semaine suivante pour passer le fameux test. Je le passa avec succès. Après l'accord de Bruno, je suis allé deux fois par semaine pendant un mois et demi faire de la préparation physique et deux mois plus tard, j’annonçai à Nicole que Jade allait voir son père réaliser son rêve le plus fou. Bruno était présent pour cette annonce. Il l'a rassuré en lui promettant de veiller sur moi pendant les deux jours d’ascension, qu'il ne m'arriverait rien. Il y a exactement six moi, le vingt huit juillet deux mille douze, j’observai avec admiration la vue que le sommet du Mont Blanc me proposait. Au point de départ de l'ascension, au Nid de l'Aigle, j'ai enterré le crayon de la marque Mont Blanc que j'avais offert à Jade. Le jour de Noël où elle a découvert se cadeau inattendu, elle m'avais glissé dans l'oreille qu'il viendrait avec elle au sommet du Mont Blanc. La voiture était à présent arrêté à un feu rouge. Michel regardait Stéphane avec un sourire en coin. -Qui à-t-il, demanda Stéphane. -Je suis très fière de toi. C'est une immense preuve d'amour que tu as fait à Jade. Elle doit être aussi fière que moi d'avoir vu son papa accomplir ce qu'elle n'a pas eu le temps de faire. -Si seulement elle avait eu le temps de le faire elle-même... -Ne pense pas à ça, le principal c'est que tu ai accompli ce qu'elle aurait aimé faire. Et je sais que de là où elle est, elle a vu ce que tu as fait pour elle. -Merci Papa. » Michel avait raison. Jade voyait, suivait tout se que son père faisait. Après vingt minutes en voiture, Stéphane découvrait l'immense demeure de son père. En arrivant, il embrassa Wendy, sa belle-mère qui vivait avec Michel depuis trente ans. Michel lui montra sa chambre. Elle était très sobre ; les murs était blancs et les meubles en bois de chêne. Stéphane posa sa lourde valise près de la grande armoire, situé en face du lit. Michel allait quitté la chambre pour le laisser se reposer car avec le décollage horaire, Stéphane devait être fatigué mais il demanda à son père si ils pouvaient aller passer la soirée à New-York tous les trois. Michel accepta. Il partit proposer à sa femme qui elle aussi accepta. Il partirent alors tous les trois en direction de New-York. New York était à trente minutes du Queens. [Ils roulaient sur une auto-route depuis quinze minutes. Ils arrivaient maintenant à un péage. Après le péage, le pont de Williamsburg Bridge se dressa devant les yeux de Stéphane. Au bout du pont ils allaient arriver à New-York. Stéphane avait la tête à la fenêtre, il était impatient d'arriver et de découvrir la ville. Il vu la fin du pont et découvrit l'immensité de la ville. Des tours se dressait à perte de vue. Il y avait également beaucoup de magasins, des fast-food, des banques. Ils passèrent à plusieurs reprises devant les mythiques panneaux « One Way ». Il se rappela se qu'un ami lui avait dit après un voyage à New-York « Tu vois les films ? New-York c'est pareil. C'est comme un rêve. ». En effet, New-York est une ville très impressionnante, à la fois par sa taille mais également par l'ambiance qu'elle dégage. Michel descendit dans un parking sous terrain et gara la grosse voiture noir. Ils prenaient à présent un ascenseur qui les mena dans la ville. Stéphane prit une grande respiration et se rendit compte que l'air n'était pas la même qu'à Chamonix, la pollution sûrement... Ils marchèrent pendant cinq minutes et entrèrent dans un restaurant quatre étoiles. Le restaurant était remplit. Michel connaissait le patron alors il réussi à avoir une place. Ils s'installèrent tous les trois autour de la table. Michel regarda fixement Stéphane et lui dit : « Demain nous avons rendez-vous avec plusieurs de mes amis journalistes. La course aux plateaux télés va commencer. » <!-- ============= LIEN D'ACCES RAPIDE - NE PAS SUPPRIMER ============= --> <br/><hr> * [[Accueil | Retour à la page d'accueil]] <!-- ============== MISE EN CATEGORIE - NE PAS SUPPRIMER ============ --> [[Catégorie:GeoWiki/Articles]] [[Catégorie:Récit de voyage]]
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Récit de voyage de Stéphane Haroz
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