Créer un compte ou se connecter
Voir le texte source
Navigation »
Accueil
Communauté
Galerie des fichiers multimédia
Actualités
Modifications récentes
Page au hasard
Aide
Rechercher »
Boîte à outils »
Pages liées
Suivi des pages liées
Pages spéciales
Autres langues »
This page does not have language versions
Page
Discussion
Voir le texte source
Historique
De GeoWiki.
pour
Aurélien Pétra
Aller à :
Navigation
,
rechercher
<!-- ======================================================= --> <!-- --> <!-- CONTENU DE L'ARTICLE - ÉCRIRE CI-DESSOUS --> <!-- --> <!-- ======================================================= --> C’était un jour de juillet, il n’y avait pas un seul nuage dans le ciel et la température dépassait les trente degrés. Un jeune homme marchait seul sur une route déserte bordée de mauvaises herbes et de quelques buissons. Au loin on voyait les reliefs de l’île de Santorin et en face, à l’horizon, on apercevait une autre île. A une centaine de mètres devant lui, une magnifique plage de sable blanc et de galets, longeait la côte. L’homme avait une allure rapide et entraînée, il avait la tête baissée et regardait ses pieds. Sa main gauche était dans la poche de son pantalon et la droite balançait à chaque pas, parfois, il la portait à son visage pour se protéger du soleil lorsqu’il levait la tête. Il tenait dans sa main, un maillot de bain noir et c’était tout ce qu’il avait avec lui. Il était grand, très mince, assez large d’épaules et avait de longues jambes, il ressemblait aux grands sportifs de haut niveau, mais encore plus mince. Il était habillé d’une paire de jeans, d’un tee-shirt blanc tout simple et portait des chaussures de sports blanches à lacets. Un visage fin et ovale, des lèvres droites voire tirées vers le bas, des dents blanches, un front lisse mais comportant une cicatrice, des yeux vert clair, des cheveux mi-longs bruns et une légère barbe sur le menton, il avait tout d’un beau jeune homme en bonne santé mais on sentait un mal-être au fond de lui et son expression mélancolique trahissait cela. Aurélien Pétra avait dix-huit ans, il avait passé son bac quelques mois plus tôt et l’avait réussi également ; il avait, d’ailleurs, bien fêté cela entre amis. Il vivait dans une maison en compagnie sa mère et de ses grands parents dans les campagnes reculées de Oia, une ville magnifique avec ses maisons blanches et bleues comme accrochées sur la falaise et qui avait comme panorama la caldeira de Santorin, composée de son cratère jaillissant au milieu de la mer et le reste de l’île. On pouvait suivre toute la côte escarpée des yeux. On apercevait même le petit port de Fira, la principale ville de l’île, au bout d’un interminable escalier sinueux qui descendait la falaise, à quelques kilomètres de là. Puis en face on voyait toute la petite île de Thirassia jusqu’à pouvoir distinguer la couleur des maisons et le va-et-vient des habitants. De l’autre côté c’était l’océan à perte de vue. A l’époque, Aurélien, sa mère et son père habitaient dans une de ces maisons blanches au centre ville de Oia, c’était la belle vie. Mais un jour son père était parti en voyage d’affaire mais n’était jamais revenu, il avait sûrement refait sa vie ailleurs… Avec un seul salaire cela ne suffisait plus pour nourrir deux personnes, payer les impôts et les études. De plus, la crise économique toucha le pays donc tous les prix avaient augmenté. Ils avaient donc déménagé chez les grands parents, à la campagne. Aurélien habitait maintenant dans une très vieille maison délabrée, les mauvaises herbes couraient sur les murs et avaient atteint un niveau élevé puis, sous le toit, la couleur des murs était devenue verdâtre voire noire. Autrefois cette maison était d’un blanc qui faisait mal aux yeux. A certains endroits le toit était fait de tôles car il s’était affaissé en raison des nombreuses années que comptait cette maison et deux fenêtres étaient rafistolées à l’aide de journal et de ruban adhésif. La porte et les volets étaient peints en bleu, comme le veut la tradition de cette île, mais le bois s’effritait et la peinture n’était visible que sur le côté intérieur. Ils étaient souvent fermés à cause de la chaleur. Au rez-de-chaussée de la maison, il y avait une décoration plutôt vieillotte, il y avait deux pièces à vivre, la cuisine et la salle à manger, mais cette dernière ne servait qu’à ranger quelques aliments, la famille y passait très peu de temps. La cuisine servait donc de salle à manger, de salon et évidemment de cuisine. Une grande table en bois était placée au milieu de la pièce avec un banc très étroit de chaque côté de celle-ci puis une chaise en bout de table. Pour celui qui avait la chance de l’avoir c’était le grand confort pour regarder la petite télévision posée sur un meuble où était rangée la vaisselle. Au premier étage il y avait deux chambres, l’une assez grande qui accueillait les grands-parents d’Aurélien et l’autre de taille moyenne pour sa mère. Celle du jeune homme était au second étage, au grenier, mais cela ne le dérangeait pas, il appréciait sa chambre car il disposait ainsi d’intimité. De plus c’était la plus grande chambre de la maison. Le jardin était grand mais peu entretenu, l’herbe était sèche et la haie qui délimitait le terrain ne produisait plus de bourgeons. Des outils traînaient un peu partout, une vieille brouette inutilisable à cause d’un pneu crevé, une scie toute rouillée et des ustensiles de pêche appartenant à son grand père ainsi que différentes pièces d’un barbecue étaient éparpillés dans tous les coins du jardin. Il y avait juste un énorme olivier, qui devait dater d’au moins cinq cents ans, planté au milieu du jardin. Donc ce jour de juillet, Aurélien se dirigeait vers cette plage, il aimait se retrouver seul quelques fois, c’était une de ses habitudes pour oublier un peu ses conditions de vie. Il avait également pour habitude de passer beaucoup de temps avec sa mère car il avait énormément de reconnaissance envers elle, elle qui s’était toujours bien occupée de lui malgré les moments difficiles. Il allait souvent avec ses amis aussi, soit à la plage soit sur les falaises pour contempler le paysage merveilleux de l’île de Santorin. Il adorait découvrir de nouvelles choses. Depuis son enfance, Aurélien était passionné par la géologie car Santorin était une île d’une géologie d’exception avec le cratère du volcan, encore actif, en plein milieu de la magnifique caldeira. Il s’y était donc intéressé très tôt. Sa cicatrice sur le front témoignait de sa passion car en voulant regarder une roche volcanique de plus près, et peu stable sur ses jambes, il était tombé la tête la première dans les roches. Cette petite chute était le sujet principal de ses ami fut un temps et ce souvenir le faisait encore sourire. Quand il arrivait à la plage, il avait l’habitude de se placer à l’ombre de petits arbustes, qui bordaient quasiment toute la plage, de plus il appréciait beaucoup cette plage car c’était un endroit très peu fréquenté. Aurélien, de son tempérament calme et de son esprit pensif et évasif, aimait rester longuement contempler l’horizon en se promettant qu’un jour il partirait découvrir le monde. Récit du voyage Quelques semaines après l’obtention de son bac, Aurélien pensait à son avenir. L’île de Santorin, étant une toute petite île et ne disposait donc pas d’écoles supérieures mais à vrai dire, sa famille n’avait pas les moyens d’en payer une pour lui. Aurélien et sa mère étaient d’accord pour dire qu’il devait partir pour trouver du travail ailleurs, ce qui faciliterait ses chances. Il était très attiré par la ville d’Athènes, la capitale grecque, avec ses nombreuses ruines ou monuments historiques, de plus cela ne nécessitait pas un très grand voyage. Il s’était renseigné au port de Oia pour trouver un bateau allant à Athènes : il y avait deux départs chaque jour au port, les tarifs étaient compris entre 60€ et 150€ et il fallait une réservation pour ce trajet. Pendant les vacances d’été, les tarifs étaient plus élevés, trop pour Aurélien, mais de toute façon c’était complet jusqu’au 3 septembre. Le 15 septembre lui paraissait convenable au tarif de 65€, il avait donc réservé cette date. Lorsqu’il avait prévenu sa mère, celle-ci avait versé quelques larmes. Elle était fière de son fils mais triste aussi qu’il s’en allât si vite. Elle était certaine que ce voyage pouvait changer la vie d’Aurélien et qu’il pourrait réaliser son rêve, celui de faire le tour du monde. Il avait aussi annoncé son départ à ses amis, ils étaient bouleversés mais heureux pour lui : ils avaient fait la promesse de se retrouver plus tard. Après deux mois de réflexion, à peser le pour et le contre pour son départ, Aurélien en était maintenant certain, il devait partir pour construire une vie meilleure. Il était tout de même anxieux de se retrouver seul dans une grande ville qu’il ne connaissait pas et où sa famille et ses amis ne seraient pas présents à ses côtés pour le soutenir. Il quittait son île, le seul endroit qu’il avait connu de toute son enfance et dont il connaissait tous les secrets. Et voilà, le grand jour du départ était arrivé si vite ! Tous ses amis avaient pris la peine de venir lui dire au revoir et lui souhaiter bonne chance, bien que son départ eût lieu très tôt dans la matinée. A l’heure de l’embarquement, il s’était mis à pleurer, il avait serré chacun de ses amis dans ses bras. Il en avait fait de même, plus longtemps, avec sa mère. Puis, une fois dans le bateau, il regardait ses proches s’éloigner en leur faisant de grands signes jusqu’à ce qu’ils ne devinssent que poussière et qu’enfin il ne les aperçût plus. Son voyage commençait, et il n’avait sur lui qu’un sac de taille modeste comportant la totalité de ses vêtements et quelques centaines d’euros que sa mère avait réussi à lui donner pour qu’il puisse se débrouiller les premiers jours. Pendant les cinq heures de voyage il n’avait fait qu'observer le paysage à travers le petit hublot à sa droite, avec un regard pensif. Il appréhendait son arrivée, il se posait beaucoup de questions comme : « Une fois là bas, que ferai-je ? » « Comment vais-je trouver un endroit pour dormir ? Où ? », « Pourrai-je trouver un travail qui me convient ? » Toutes sortes de questions se bousculaient dans sa tête. Le bateau s’approchait petit à petit du port du Pirée à Athènes et le paysage montagneux était magnifique. Il entrait dans un petit port de forme circulaire, des grands navires de croisière étaient accostés le long des quais et les autres bateaux plus petits, autour des appontements en bois. De sa place, Aurélien voyait les maisons aux toits oranges et des immeubles blancs, pas très hauts : cela avait l’air d’un endroit plutôt riche et animé. Le bateau s’était accosté au quai entre deux bateaux plus petits destinés à des excursions touristiques. A la sortie, Aurélien avait suivi les personnes présentes dans son bateau le plus loin possible jusqu’au moment où tout le monde s’était dispersé. Il s’était arrêté pour regarder où il se trouvait, il était complètement perdu, il s’était assis sur un banc en bois au milieu d’une petite place sympathique entourée d’arbres et de petits commerces. Il n’était que 11h du matin, il était épuisé de son voyage et avait très faim, il avait alors décidé de déjeuner dans un petit snack bon marché. Il était allé demander à une jeune fille si elle savait où il y avait cela. Elle avait un fort accent américain et parlait avec difficulté le grec mais elle se débrouillait. Aurélien, lui, parlait assez facilement l’anglais, il aimait cette matière au lycée. Cette fille avait les yeux bleu clair, elle avait de longs cheveux bruns qui tombaient jusqu’à sa taille, sa peau était mâte, elle était plutôt grande et mince ; Aurélien était sous le charme. Elle était seule et avait l’air aussi perdue qu’Aurélien, elle ne savait pas où trouver ce qu’il cherchait, en réalité elle était aussi à la recherche d’un snack. Ils souriaient tous les deux face à cette situation. La jeune fille lui avait proposé de chercher ensemble et d’en profiter pour faire connaissance. Aurélien avait tout de suite approuvé cette proposition. Tout en marchant, ils se posaient mutuellement des questions, chacun était très intéressé par les paroles de l’autre. Il avait appris qu’elle s’appelait Katy Jones, elle avait 18 ans et vivait aux Etats Unis à New York. Ce voyage était son cadeau pour sa réussite au bac. Avant Athènes, elle était passée par Paris, Londres et Rome, son rêve était de visiter les capitales européennes . Athènes était sa dernière destination et dans 3 semaines elle repartait chez elle à Manhattan. Ils avaient entre temps trouvé un petit restaurant et s’étaient installés sur une table en terrasse. Aurélien lui avait à son tour raconté sa vie : son père était parti lorsqu’il était jeune, sa vieille maison délabrée à Oia, les difficultés financières puis la raison de son arrivée ici. Après une bonne heure de discussion, ils s’étaient promenés au port toujours en parlant mais Aurélien commençait à s’inquiéter, il devait absolument trouver un endroit pas cher pour dormir . Katy lui avait donc dit de la suivre, l’hôtel où elle s’était installée quelques heures plus tôt était bon marché et plutôt confortable. Il avait suivi son conseil et l’avait remerciée pour cette superbe journée qu’il avait passée avec elle et avait promis de la revoir. Le soir même, Aurélien, épuisé, était au lit à 18h sans manger. Pendant les 2 semaines qui suivaient, Aurélien et Katy s’étaient vus tous les jours et s’étaient beaucoup rapprochés, ils avaient fait beaucoup de visites dans Athènes et avaient visité les ruines et les monuments anciens, ce qui avait beaucoup plu à Aurélien. Il avait d’ailleurs trouvé un petit boulot au port : il louait les vélos aux touristes, il gagnait peu mais cela lui suffisait pour le moment. Il avait aussi écrit à sa mère et ses amis pour leur dire que tout allait bien et qu’il avait fait une connaissance incroyable. Cependant le séjour de Katy à Athènes s'achevait dans une semaine, Aurélien essayait de ne pas trop y penser mais c’était impossible, il ne se voyait pas rester seul Athènes sans elle. Elle aussi était triste de le laisser seul et la pensée de ne plus le voir lui était insoutenable. Elle eut alors une idée complètement folle mais qui pouvait fonctionner : amener Aurélien chez elle. Pour lui expliquer cette idée, elle l’avait invité à prendre un verre, un soir, sur la petite place où ils s’étaient rencontrés. C’était donc toute excitée qu’elle avait exposé sa proposition à Aurélien : « - J’ai quelque chose à te proposer car, comme tu le sais, je repars chez moi dans une semaine. - Oui, je ne sais pas comment je ferai sans toi. Je t’écoute. - Moi non plus c’est pour ça que j’ai pensé à ce que tu viennes avec moi à New York. - C’est vrai ? Est-ce une proposition sérieuse ? - Bien sûr ! Je ne veux pas te laisser seul ici, sans toi c’est inimaginable. - J’aimerais bien, mais ma mère, mes amis…je ne peux pas m’éloigner trop de mes proches…et puis de toute façon le prix est beaucoup trop élevé pour moi. - Pour tes proches, tu pourras toujours revenir ou même les inviter ! Et pour le prix, je te paye le voyage ! - Il faut vraiment que j’en parle à ma mère. Mais d’un autre côté c’est une belle occasion de réaliser mon rêve… Et pour entrer aux Etats Unis, ne faut-il pas remplir des papiers ? - Oui je te laisserai réfléchir, mais comme on dit, la nuit porte conseil ! Pour aller aux Etats Unis il faut avoir un passeport électronique, un visa et remplir sur Internet l’ESTA, je te prêterai mon ordinateur. - D’accord, je vais vraiment réfléchir et en parler à mes amis et ma famille. Mais sinon j’ai déjà le passeport et le visa. - Puis, là bas, tu logeras dans mon appartement. - C’est une proposition très intéressante ! » Katy et Aurélien étaient repartis dans leur chambres et il avait téléphoné à sa mère qui avait acquiescé directement, pour elle c’était l’occasion pour réaliser son rêve et construire une nouvelle vie meilleure. Pour lui aussi. Ses amis lui avaient même demandé pourquoi il hésitait autant. Le lendemain matin il avait prévenu Katy à la première heure. À peine avait-il achevé sa réponse, elle avait bondi du lit pour enlacer Aurélien. Ils étaient tellement heureux. Pendant une semaine ils avaient préparé le départ, Aurélien avait rempli le formulaire ESTA, réservé les billets d’avions, il restait très peu de place mais il avait eu de la chance même si durant tout le voyage, il ne verrait pas Katy car elle avait réservé plus tôt et était placée à l’autre bout de l’avion. Mais qu’importe, à son arrivée ils ne se quitteraient plus. Le jour du départ, il avait appelé sa mère et lui avait promis de ses nouvelles dès son arrivée à New York. Elle était ravie que son fils parte à la « Big Apple », une ville où tout est possible, une ville qui lui changerait tellement de sa petite île de Santorin. Katy et Aurélien étaient arrivés à l’aéroport d’Athènes en taxi deux heures avant le grand départ. Aurélien n’avait jamais pris l’avion et il appréhendait un peu mais Katy le rassurait. Après l’enregistrement des bagages, le passage aux portails électroniques et la flânerie dans les petites boutiques, c’était l’heure de l’embarquement. L’heure de se séparer pendant 3h. Le voyage jusqu’à Paris était passé vite, Aurélien s’était assoupi une demi-heure environ et avait regardé par le hublot le reste du temps. Il avait rejoint Katy et après la même procédure qu’à l’aéroport d’Athènes ils s’étaient installés sur des sièges en attendant leur prochain vol. Ils n’avaient pas cessé de parler de leur arrivée, plein de projets en tête. C’était l’heure de repartir et de se quitter de nouveau pour plus longtemps cette fois-ci. Au bout de ce voyage l’attendait sûrement une vie meilleure en compagnie de Katy et peut être la réalisation de son rêve de faire le tour du monde avec elle. Il s’était assis à sa place mais cela ne lui convenait pas Il avait demandé à la personne à ses côtés d’échanger sa place pour être du côté du hublot, ce qu’elle avait fait très gentiment. Il contemplait le paysage vu d’en haut de la France avec un temps étonnamment dégagé. Il avait aperçu une pointe, à l’extrême Ouest de la France, qu’il trouvait magnifique avec une forme particulière et atypique qui lui faisait étonnamment penser à sa petite île grecque. Il ignorait son nom mais se disait qu’il s'y rendrait sûrement un jour. Puis après cette pointe, plus rien, la mer à perte de vue. Il s’était ensuite endormi pendant le reste du voyage. Enfin, après huit heures de trajet il avait retrouvé Katy. Ils avaient tous deux un large sourire aux lèvres, l’arrivée à l’aéroport JFK de New York, au sud du Queens, enfin. Ils s’étaient précipités hors de l’aéroport et la première vue qu’il avait, c’étaient ces fameux taxis jaunes, par centaines qui venaient chercher les passagers du monde entier pour les acheminer à bon port. Aurélien et Katy en avaient pris un pour les conduire au nord de Manhattan, à l’appartement de Katy. Pendant tout le trajet il avait toujours son habitude de regarder dehors. Il avait l’air impressionné par ces gratte-ciel à perte de vue, ces publicités très imposantes au coin de chaque rue et autant de personnes marchant sur les énormes trottoirs. Il était émerveillé. Katy le laissait dans ses pensées avec un léger sourire comme lorsqu’une mère regarde son enfant découvrir quelque chose. Le taxi s’était arrêté devant un immeuble assez récent blanc, chez Katy. <!-- ============= LIEN D'ACCES RAPIDE - NE PAS SUPPRIMER ============= --> <br/><hr> * [[Accueil | Retour à la page d'accueil]] <!-- ============== MISE EN CATEGORIE - NE PAS SUPPRIMER ============ --> [[Catégorie:GeoWiki/Articles]] [[Catégorie:Avatar]] [[Catégorie:Récit de voyage]] [[Catégorie:Portraits GéoLittÉ]]
Revenir à la page
Aurélien Pétra
.
Politique de confidentialité
À propos de GeoWiki
Avertissements
Powered by MediaWiki
Designed by Paul Gu