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Alors qu'il se baladait tranquillement dans les rues de Paris, un homme l'aborda pour lui dire qu'il avait le profil parfait pour faire partie du film « Les deux orphelines ». L'homme lui donna l'adresse où il fallait se rendre pour aller voir le producteur du film, or ce film se tournait aux États Unis, à New York plus précisément, mais il n'avait pas assez d'argent pour s'y rendre. Il décida de chercher des petits boulots pour pouvoir se payer le train de Paris à Brest et le bateau de Brest à New York. Sachant que le train coûtait 50 francs et le bateau 100 francs, il commença par travailler en tant que cuistot dans son pensionnat, en 2 mois il récolta 50 francs. Il trouva que ce petit boulot n'était pas assez efficace, il chercha un autre petit boulot et trouva du travail chez une vieille dame, son rôle était de s'occuper d'elle et de se promener avec elle. Elle été très gentille et au bout d'un autre mois elle lui donna 150 francs, au total il avait donc récolté 200 francs en 3 mois,  il avait assez d'argent pour enfin pouvoir partir à New York. Avant de partir il alla faire son passeport car il savait qu'il en faudrait un pour arriver en Amérique. Une semaine plus tard il prit le train en direction de Brest, après 6 heures de train, il arriva a Brest. Ensuite il prit le bateau de Brest à New York mais ce bateau faisait une escale a Plymouth. Le port de Plymouth été très petit, il possédait une petite jetée : il y avait une dizaine de bateaux de pêche qui avaient jeté l'ancre aux alentours du port, il y avait une petite digue de pierre, la plage était remplie de galets : on ne voyait pas de sable. Les Anglais qui montaient dans le bateau était réjouis d’aller en Amérique, la plupart de ces Anglais quittaient l’Angleterre à cause de la crise. Après 2 heures d'escale, le bateau reprit le large. Alors que François  s'était installé dans un fauteuil, un petit anglais vint vers lui et lui dit «Mother, Mother», François savait un peu parler anglais il avait donc compris que le petit avait perdu sa maman, il prit donc la main du petit et alla rechercher sa maman avec lui. Même si le petit ne savait pas parler français, François lui parlait pour le rassurer, il lui disait « On va retrouver ta maman ne t’inquiète pas » Après plusieurs heures de recherche François retrouva enfin la mère du petit, le petit courut dans les bras de sa maman et lui expliqua que François l'avait aidé. La mère du petit garçon vint voir François et lui serra la main en disant « Thank you » François lui répondit « No problem » et il repartit s'asseoir sur son fauteuil. Après 9 jours de bateau, il arriva finalement en Amérique mais avant d'accoster sur le continent il fallait passer par Ellis Island, c'était une petite île. Sur cette île il y  avait un grand bâtiment, on aurait dit un manoir. Le bateau accosta à Ellis Island, François et tous les autres passagers débarquèrent sur l'île, ils rentrèrent dans ce bâtiment, là se trouver deux longues files d'attente, ils se faisaient contrôler un par un. Quand vint le tour de François, on lui demanda son passeport, ensuite on lui fit des tests médicaux, a priori il n'était pas malade. Il lui restait une étape, il devait passer des tests juridiques mais François n'avait jamais eu de problème avec la justice, il passa donc sans problème. Pour arriver sur le continent il y avait un bateau qui prenait toutes les personnes ayant passé les tests sans soucis, François monta dans le bateau et au bout de 45 minutes, le bateau quitta Ellis Island et avança en direction de New York. Du bateau, on voyait de grands gratte-ciel, le spectacle était splendide, il y avait plein de bateau, dès qu'on regardait un gratte-ciel, on en trouvait un plus grand, et en regardant autour de ce gratte ciel on en trouvait encore un encore plus grand, mais il n'y avait pas que cela, il y avait beaucoup de gens sur les quais, il y avait aussi des usines et des petits immeubles, pendant que François regardait ce spectacle, le bateau venait d'accoster à New York.
  
  
  
L'accès à l'emploi pour les handicapés en France
 
  
En 2013, 21% des personnes handicapés sont au chômage, soit le double de la population active
 
 
Le taux de chômage en France pour les handicapés est de 21% contre 8% pour l'ensemble de la population en âge de travailler.
 
Seul 44% des personnes reconnus handicapés exercent une activité professionnelle alors que c'est le cas de 71% de l'ensemble de la population. Cet écart est à son maximum pour les gens de 40 à 49ans alors que 90% de cette tranche d'âge de la population active est en activité seul 57% des handicapés le sont.
 
Le taux d'emploi à tout âge pour les handicapés est de 35% contre 65% pour la population active.
 
Les difficultés d'intégration des personnes handicapés dans le monde du travail sont double. D'une part leur parcours scolaire étant plus difficile, elles souffrent souvent d'un niveau de qualification inférieur à la moyenne. D'autre part, sans négliger les difficultés qui existent pour les entreprises, celle ci font peu d'effort pour leur facilité l'accès à l'emploi, quitte a payer une amende si elle ne s'acquitte pas de leur obligation d'emploi.
 
Tout employeur du secteur privé et tout établissement public à caractère industriel et commercial occupant au moins 20 salariés, doit employer, dans une proportion de 6% de son effectif salarié. Par exemple, dans un établissement public à caractère industriel et commercial occupant 100 salariés, il y aura 6 salariés handicapés sinon l'établissement écopera d'une amende.
 
 
Source: Livre : Les inégalités en France page 109 « Les personnes handicapés », mars 2010
 
            Web : L'obligation d'emploi en faveur des handicapés
 
 
Romain, Kevin
 
  
 
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Version du 16 avril 2014 à 09:47