Accueil

De GeoWiki.

Ligne 1 : Ligne 1 :
Il y avait deux jours en rentrant de l'école Oscar avait joué à une tombola. Il y avait joué juste parce que les bénéfices était reversés à une association, il avait aimé ce soutien et cette solidarité. Il avait donc acheté un billet. Nous étions alors le 23 octobre, c'était le jour du tirage de la tombola : Oscar l'avait oubliée pourtant elle allait changer sa vie. Le soir même, assis devant sa télé, il reçut un appel de l'organisateur de la loterie, Oscar venait de gagner un billet d'avion pour Ottawa , il était surpris car il n'avait même pas regardé les possibles lots à gagner. Il prit alors son télephone et appela sa mère pour le lui annoncer, en le lui annonçant il se rendit compte que c'était un aller simple, sa mère lui suggéra alors de profiter de ce voyage pour aller vivre aux Etats-Unis et réaliser enfin son rêves. Il en eut des étoiles plein les yeux. En rentrant chez lui il alla sur internet pour se renseigner sur les possibilités d'accès à New-York depuis Ottawa, il trouva une ligne de train qui reliait Ottawa à New-York mais cette ligne de train ne passait que deux jours après l 'atterrissage de son avion . Oscar eut alors une énorme désillusion. Alors qu'il avait cessé de chercher, un de ses amis lui proposa d'essayer de trouver une chambre d'hôtes. Oscar y avait longuement réfléchi puis il se rendit compte que c'était la seul solution , il réserva donc une chambre d'hôtes pour les deux jours qui suivaient son atterrissage. Nous étions alors le 21 novembre, Oscar venait juste de montrer son passeport et son visa à la douane française , il embarquait dans l'avion. La seule chose qui le contrariait était sa valise car il avait tout emporté, 5 kilos maximum. Enfin l'avion d'Oscar décollait et après seulement 20 minutes de vol il contempla la vue par le hublot : il vit alors un magnifique ciel bleu, il se demanda alors où étaient les nuages, Oscar en eut des frissons quand il comprit qu'il était au-dessus de ces nuages. Il se rendit alors compte qu'il était très haut . Il décida donc de mettre ses écouteurs et de fermer les yeux pour s'endormir. Au bout de plusieurs heures Oscar fut réveillé par une hôtesse de l'air qui lui annonça l'arrivée à Ottawa . Lorsqu'il descendit de l'avion Oscar fut saisi par une vague de fraîcheur qui le frigorifia , mais il devait rejoindre sa maison d'hôtes qui se trouvait en centre-ville à quelques minutes de l'aéroport, il y alla en taxi. Quand il fut arrivé devant la maison il se crut dans un film hollywoodien avec cette maison à un seul étage, avec un garage sur le coté, elle était faite en brique rouge et recouverte de neige, elle avait une petite allée qui menait jusqu'à la porte . Oscar avança et frappa à la porte, il commença à s'exprimer en Anglais quand la famille le reprit et lui annonça qu'ils étaient francophones , puis Oscar leur demanda où se trouvait la chambre dans laquelle il dormirait , après avoir pris connaissance des lieux Oscar s'installa et repartit aussitôt pour se procurer des vêtements plus adaptés à ce terrible froid , il rentra en fin de journée car il avait passé sa journée à visiter la ville. Oscar aimait dormir et le lendemain il se leva à 13h , après avoir déjeuné et s'être préparé, il proposa au couple chez lequel il logeait de se rendre au cinéma. Ils furent de retour a la maison pour 18h30. En arrivant, Oscar partit préparer ses valises pour le lendemain. Oscar fut prêt à partir, il remercia ce couple chez qui il avait logé pour la modique somme de 50 dollars : il prit ensuite un taxi qui le déposa à la gare, à 8H10 Oscar fut à la gare : il avait présenté son billet, son passeport, son visa et même l'autorisation Esta. Il était prêt à entrer aux Etats - Unis. Pendant les 20 minutes avant le départ Oscar repensait à ce modeste couple canadien qui faisait chambre d'hôtes pour arrondir ses fin de mois, mais l'heure était maintenant au départ, lorsqu'il prit place dans le train, Oscar se demandait s'il allait réussir à New-York. C'est la tête pleine de pensées qu'il s 'endormit. Lorsqu'il se réveilla le train venait de s'arrêter, il fallait en descendre. Oscar prit ses bagages et il devait ensuite subir un questionnaire sur sa venue aux Etats-Unis, après avoir passé ce questionnaire Oscar pouvait enfin entrer à New-York . Il traînait sa valise à roulettes, puis il la porta pour monter quelques marches et là il fut dépassé par la choses qu'il voyait, il y avait d'énormes building à perte de vue, des dizaines et des dizaines de taxis jaunes une foule de piétons sur chaque trottoir. Oscar venait d'entrer en Amérique avec un grand A, la où tout est plus grand.
 
  
  
2,5 ; 2 ; 3 ; 0 ; 1
 
  
  
8,5/20 Toutes les consignes ne sont pas assez appliquées. La scène de roman n'est pas assez identifiable comme telle et il manque un dialogue.
 
 
L'idée de passer par le Canada est par contre une bonne idée.
 
 
La maîtrise de la langue écrite demeure trop fragile.
 
  
 
{| class="wikitable center"
 
{| class="wikitable center"
Ligne 57 : Ligne 50 :
 
</inputbox>
 
</inputbox>
 
[[Derniers articles]]
 
[[Derniers articles]]
 +
Nous étions à Toulon, le match Toulon-Toulouse se déroulait au stade
 +
Mayol. Les spectateurs étaient présents à cette rencontre, il n’y avait plus
 +
places assises. Il y avait égalité, 20 pour Toulon et 20 pour Toulouse. Il restait 1 minute avant le coup de sifflet final. Toulouse avait la balle
 +
pendant 5 minutes, ils continuaient à avancer, quand un adversaire arriva
 +
sur James, James le plaqua, puis il se releva et réussit à prendre la balle à
 +
leur adversaire. Il partit de cette zone où se trouvaient beaucoup de
 +
Toulousains, puis un des adversaires essaya de le plaquer, James « cassa »
 +
le plaquage, puis il se retrouva tout seul face à la ligne d’en but des
 +
Toulousain, il lui restait 60 mètres à faire pour pouvoir toucher la coupe de
 +
France entre ses mains. Il courut le plus vite possible, comme à son
 +
entraînement, les spectateurs étaient en délire, ils chantaient, criaient,
 +
pleuraient de joie. L’entraîneur des Toulonnais criait aussi sur le bord du
 +
terrain, il encourageait James à courir le plus vite possible. Il lui restait
 +
enfin 5 mètres, alors enfin dans l’en but, il se laissa tomber, glissa, et ne se
 +
releva pas aussitôt, les Toulonnais allaient tous sur lui pour le féliciter,
 +
l’arbitre siffla, et 5 points venaient de s’ajouter au score des Toulonnais.
 +
Wilkinson se plaça pour transformer cet essai, tira, et marqua.
 +
  Dans les vestiaires, l’entraîneur félicita toute l'équipe, et surtout James
 +
pour cet essai, il leur dit alors que pour les récompenser d’avoir gagné la
 +
coupe de France, ils allaient partir à New York, toute l'équipe était
 +
contente, ils fêtèrent cela tous ensemble dans les vestiaires.
 +
 +
  Une semaine plus tard, toute l'équipe se rendit à l’aéroport de Toulon,
 +
personne ne manquait, alors, ils montèrent tous à bord de l’avion, c'était
 +
un avion privé que le club avait réservé. James monta avec Bastareaud, ils
 +
s’assirent tous les deux à côté l'un de l'autre. L’avion décolla, et on sentit tout de suite
 +
une ambiance festive. Pendant une heure, l'équipe parla, dormit, faisait
 +
des bras de fer, etc...
 +
Pendant que deux personnes faisaient un bras de fer, James regarda par le
 +
hublot, et, vit deux îles.
 +
Il demanda à un coéquipier:
 +
- «  Eh, quelqu’un a des jumelles?
 +
- Oui tiens, tu veux regarder quoi ?
 +
- Il y a deux îles en bas et je veux bien les voir »
 +
James prit les jumelles et vit beaucoup mieux les deux îles, une était très
 +
longue, et l’autre était ronde mais pas très grande.
 +
Cela faisait 8 heures que l'équipe avait décollé, James s’endormit.
 +
Trois heures après il se réveilla, tous le monde eut un repas, ils mangèrent
 +
frites poulet.
 +
  Il ne restait plus qu'une heure avant de mettre le pied sur la terre
 +
américaine, toute l'équipe était impatiente, ils avaient tous hâte de
 +
pouvoir voir l’Amérique de leurs propre yeux. Parce que personne n'était
 +
 +
 +
venu en Amérique auparavant. Ils parlèrent tous ensemble.
 +
Le pilote prit le micro, annonça que dans 1 minute ils poseraient le pied
 +
sur le sol américain. Ils se préparèrent, l’avions se posa, et James sortit en
 +
premier, car c'était grâce à lui que l'équipe était partie pour ce voyage.
 +
  James vit tous les avions, l’aéroport écrit en américain, il posa le pied à
 +
terre. ça y était, ils étaient enfin arrivés après 16 heures de voyage.
 +
 +
2; 1,5 ; 1,5 ; 2 ; 1,5
 +
8,5/20 Aucun passage n'est suffisamment identifiable comme une scène de roman. La description du point-repère et le dialogue ne sont pas assez développés. Maîtrise de l'expression écrite et de la ponctuation très approximative.
 +
  
 
[[Demarrer avec MediaWiki]][[Catégorie récits de voyage]]
 
[[Demarrer avec MediaWiki]][[Catégorie récits de voyage]]

Version du 16 avril 2014 à 09:37